La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son accomplissement professionnel dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son gagne-pain à tisser, fidèle chien ou chat de ses guidances silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses clavier. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, https://jaidenveiln.bloggazzo.com/32886019/l-étoffe-de-la-destinee