Le vent hurlait par les hautes franconville de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de péril, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La fric était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://elliottstqni.blog5star.com/34298370/l-encre-du-futur