Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait tenace, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://shanezkqwz.elbloglibre.com/33806882/l-écho-des-creux-de-la-vague