Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait limitrophe de la radio. Il avait passé l'obscurité à appeler une faille dans le message écouté, à démonter mentalement n'importe quel changement de la transmission. Le patronyme évidemment était le sien, acharné d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://johnathannaeik.dsiblogger.com/66907494/le-nombre-gelé