Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son coutume, attendait que l’obsidienne traite à neuf. La pierre black semblait absorber la clarté sélénien, vibrer par-dessous la pression du vent, et assez fréquemment, sans prévenir, elle résonnait de cette voix https://laurianavoyance08641.educationalimpactblog.com/55611420/les-traces-effacées