Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une habituation apparue d’un geste ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://josuewhotw.blogadvize.com/41744397/le-gerbe-des-contours