La pièce semblait dès maintenant faire étalage seule. Le résultat des murs, patiné par les saisons, conservait une tiédeur étrange, tels que s’il absorbait l’écho des présences passées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque aube, elle observait les plus récentes harmonies se former : https://donovanchlmm.educationalimpactblog.com/55880201/les-secondes-suspendues