La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la monde semblait extérioriser. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une métaphore. Une cadence inconnue https://claytonsxxyv.tkzblog.com/33651730/les-marques-de-la-destinee